Je vous conseille très vivement de lire l'article du Figaro qui est le corpus de cette note!
Il est parfaitement révélateur du climat actuel de l'édition: mardique! Pardon, merdique! Tout ça parce qu'on est...mardi...
De quoi s'agit il?
Des ventes de livres...vaste sujet!
Des chiffres de ventes...sujet TABOU!
Aucun éditeur ne donne ses vrais chiffres...sauf moi!
Pourquoi?
Parce qu'ils sont mauvais, de plus en plus mauvais!
Comment attirer les auteurs avec de vrais chiffres aujourd'hui?
Impossible!
Par contre avec un vrai chèque, ça peut marcher...
Comme le chèque est (presque) toujours plus important que les droits que toucherait l'auteur, "on" ne tient donc pas à ce que les vrais chiffres soient connus!
Ce n'est pas complètement aussi simple, mais ce n'en est pas loin...
Par ailleurs le milieu n'est pas exactement connu pour sa transparence et son économie repose sur des bases fausses à savoir "le droit de retour" entre autres.
il faudra donc très vite se pencher sur ce problème pour arriver, enfin à connaître un semblant de vérité sur les ventes de livres...
Demain quelques exemples entre "tirage", "facturation" et "ventes réelles"...
Juste pour rire...
Quelques chifres aussi d"'à valoir" versés , de ventes correspondantes avec en prime ce qu'a couté le livre et ce qu'il a rapporté...
Bref, comme me l'a dit un ami:
"As tu l'intention qu'il te reste un ami?"...
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