Demain je pars à la foire du livre de Jérusalem;
pourquoi en parler?
Simplement pour dire que j'en reparlerai au retour,
dans cinq jours.
Dire que le livre est un vecteur de dialogue et possiblement de paix,
que la littérature, ailleurs , peut rassembler les hommes à côté d'une frontière, sur le pont Allenby, ente Israêl et Jordanie.
Auteurs Israëliens, Palestiniens, d'autres pays arabes aussi.
Nous y allons pour nous retrouver et montrer que l'espoir de paix demeure plus fort que la haine et le fanatisme.
Pour montrer que la littérature rasemble les vraies consciences et ignore les fausses, que la vie germano pratine est une pantalonade dont les acteurs sont plus ridicules que ceux dont ils parlent...
Deux extraits, ici et maintenant:
un pastiche formidable de Dider Jacob (une fois de plus me direz vous...)
et un dialogue surréaliste entre J-M Roberts et Richard Millet.
J'ai peur de ne croiser aucun des "intellectuels de renom" entre Jérusalem et les territoires palestiniens...
Il est vrai qu'il fait meilleur au Flore, chez Lipp et dans d'autres endroits pour "happy few" qui croient expliquer au monde ce qu'il doit penser qu'entre deux pays et deux peuples qui rêvnet de paix mais n'y arrivent pas...
Les aide t on suffisamment?
Nous engageons nous assez?
Faisons nous, vraiment, notre devoir,
Certains d'entre nous qui viennet du monde entier essaient...
Les germanos pratins dissertent...
Bonne lecture,
que ceux qui le souhaitent ou le peuvent fassent de beaux rêves,
nous essayons d'en construire un: la Paix...
Les commentaires récents