Mon Alban,
Il y a bien longtemps que je n’avais pris la plume pour t’écrire, oui, bien longtemps… Depuis le jour où j’ai envoyé, presque par erreur, cinq lettres qui t’étaient destinées à une maison d’édition parisienne. Tu penses bien que je n’attendais guère plus de réponse de la part desdites éditions que de toi, musicien perdu dans les brumes allemandes… Et pourtant ! Deux mois plus tard, je recevais un coup de téléphone. Trois mois encore, et j’étais à Paris. C’est cette journée passée dans la capitale que je voudrais te conter, mon Alban : après tout, c’est à toi que je la dois…
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