"Chaque fois que paraît un nouveau roman de Pierre Pelot, il faut se dépêcher d'évacuer le phénomène (la bête des Vosges a 160 romans à son actif en 30 ans de maraudage littéraire) afin de mieux apprécier le livre pour ce qu'il est : une histoire forte puissamment racontée par un homme à plume qui n'aime rien tant que raconter des histoires. L'Ombre des voyageuses ne déroge pas à la règle. Cette fois, le conteur nous donne une épopée féminine entièrement gouvernée par la personnalité assez sauvage et rageuse d'Esdeline Favier... Pelot, c'est aussi bien L'Eté en pente douce que Le Pacte des loups ou C'est ainsi que les hommes vivent. Dommage qu'il y en ait si peu en France qui sachent comme lui mettre le feu à l'imagination." Pierre Assouline
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