mai 2013

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Commentaires

guehl

C'est joliment dit tout çà, mais le Tibet, dont le dragon chinois à posé son cul dessus pour l'étouffer, qui s'en émeut. C'est vrai, ce minuscule pays se trouve si loin de Europe, alors s'il disparaît qui s'en soucieras?

martingrall

Jérôme, veuillez me pardonner si je vous ai malmené. Ce qui me gène c'est l'organisation des salons qui fait dans la mère maquerelle. Et cela me peine vraiment. Les salons sont nécessaires, ne serait-ce que pour se faire rencontrer les auteurs avec leurs lecteurs et surtout d'autres auteurs.Il faut juste s'articuler d'une autres façon, ajouter une couche,etc.... Et je ne parle aps des éditeurs finançant ces salons au retours très incertains.

Jerôme

C'est bien facile que qualifier de "vente à la criée" ou de "vente aux enchères" les séances de dédicace sur les salons ou autres lieux autours du livre ; surtout lorsque l'on a le bonheur d'être connu, et même reconnu. Tout le monde ne publie pas dans des grandes maisons d'édition où la publicité fait un grand et coûteux travail ! Mais pour tous les autres, qui espèrent voir leur travail gagner le public, c'est une autre histoire. Une séance de dédicace, même si elle ne permet pas de vendre beaucoup, est un lien important avec les lecteurs, un moyen d'avoir un retour direct sur son ouvrage, une façon de percevoir le ressenti des vendeurs, lorsque cela a lieu chez l'un d'eux.
Certes, il est parfaitement désagréable d'attendre le chaland et derrière une pile de bouquin, on ressemble à un mendiant de la littérature. Pourtant, les quelques rencontres qui peuvent se nouer à ces moments là, sont des instants précieux pour un auteur. Des petits riens qui parviennent, parfois, à rendre de la vigueur et l'envie de continuer.

martingrall

Je ne vais jamais au salon du livre, cela me peine toujours de voir les auteurs devant leur linéaire de 60 cm,les malchanceux, derrière leur toujours pile de livre, et se mettre aux enchères, se vendre à la criée et cette année c'est pire je reviens d'Amsterdam. J'adore ce surréalisme de préado. Et pour ceux, auteurs connus, ceux qui passent aux télés ou à poil en cul de bus, c'est encore pire.
Et cette année, tout simplement parce que je m'interdis de répondre à toute menace, je serais au salon du livre.
J'dis ça j'dis rien, je connais Israel, enfin Jérusalem, surtout et uniquement le monastère, j'y extrais ma soeur, soeur carmélite, lorsque cela sent un peu le chaud, et à chaque fois, je me dis que l'igorance crade de l'histoire de tous les peuples depuis quatre milles ans, les libertés arrachées aux pharaons par des juifs pour tous surtout les palestiniens, etc etc puis le roi d'arabie au 18° unifiant un pays par la réligion... etc
Je suis contre la revendication de sa religion juive, comme de la mienne ''il est encore fécond le ventre qui ... bête immonde'' et au combien. cependant Editeur, une bonne chose serait d'écrire l'histoire d'un de nos peuples français. ''Afin que nul n'ignore'', je suis contre bien sur, ne rien oublier, mais ne rien transmettre. Mais, afin que nul n'ignore, que l'écriture serve. Et que ramadan le fasse il existe toujours des talons de chèques made in USA aux USA justement.

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