Chers lecteurs,
Nous ne résistons pas à l’envie de vous inviter à visionner, en cliquant ici, une émission pour le moins originale d’universcience.tv, consacrée au nouveau thriller scientifique de Stefan Brijs, Le Faiseur d’anges, traduit du néerlandais par Daniel Cunin.
Universcience, le nouvel établissement qui regroupe la cité des sciences et de l’industrie et le Palais de la découverte, a eu l’idée ingénieuse de créer une WebTV. Ce site internet, entièrement consacré aux sciences sous toutes leurs facettes, met chaque semaine en ligne un nouveau programme dont 80 % du contenu est de leur propre production. En opposition au « monopole de la télévision où les programmes de qualité passent trop vite », universcience.tv s’inscrit dans une démarche à la fois exigeante, spécialisée et pédagogique.
La
rubrique « On a aimé ce livre » n’est donc pas restée indifférente aux talents
de conteur de l’un des géants de la littérature flamande. C’est tout
naturellement qu’Arno Caravel a travaillé à promouvoir ce succès des Editions Héloïse
d’Ormesson publié en janvier 2010.
Par
sa vraisemblance scientifique et, surtout, pour les questionnements éthiques et
philosophiques qu’il pose, Le Faiseur d’anges ne pouvait pas mieux correspondre
aux exigences d’universcience.
Rappelons-nous
donc brièvement ce « conte fantasmagorique », qualifié de tel par l’écrivain
Dominique Dyens. Le petit village de Wolfheim se voit bouleversé par le retour
du docteur Victor Hoppe et de ses trois enfants, des triplés marqués des mêmes
difformités que leur père, parqués et cachés au regard des villageois. Ces
enfants, pour le moins étranges, sont atteints d’une maladie génétique qui les
fait vieillir prématurément. Leur visage porte les stigmates du temps, et leur
géniteur ceux de la folie. Atteint du syndrome d’Asperger (difficulté à
ressentir des émotions et à distinguer le Bien du Mal), Hoppe se joue des
discours religieux et éthiques et se mesure à Dieu au gré de ses expérimentations
génétiques. De la même manière que ce texte s’interroge sur les relations entre science et
religion, l’écriture du narrateur est celle de quelqu’un qui se place « au
dessus de la mêlée comme un Dieu pour les personnages » (Le Monde du 16 avril
2010). « L’écriture est, à mes yeux, comme un échiquier. Les villageois en sont
les pions, Victor le roi, et, en tant qu’écrivain, je déplace les pièces… et
certaines quittent le jeu » raconte Stefan Brijs.
Non
sans rappeler le mythe de Prométhée ou le spectre de Frankenstein, le récit de
Stefan Brijs tire ses origines dans l’affaire du clonage de la brebis Dolly en
1997, qui pose les jalons des questions éthiques et du fantasme médical. Aussi
dérangeant que poétique, le livre interroge le désir d’immortalité. L’auteur
parvient au travers de cet antihéros à tenir le lecteur en haleine, non sans le
troubler, au gré des frasques de ce Jésus scientifique qui recrée le monde en
la personne de trois enfants. Jusqu’où la folie peut-elle mener ce génie
scientifique, à la fois obsédé par Dieu et qui le déteste ? Quelles limites
donner aux manipulations génétiques ? C’est un roman maîtrisé, efficace et
saisissant qui nous livre quelques clés de réponse à ces questions et fantasme
un monde où personne ne serait plus à même de les poser.
Extraits de presse :
«
Chez Stefan Brijs (…) la mécanique dramatique prime sur tout le reste, ce qui
rend son texte aussi réjouissant que froid comme une lame – et ouvert aux
interprétations. (…) En virtuose de la construction romanesque, il « joue avec
les émotions du lecteur », et méticuleusement, il affine le rythme de sa
phrase, qui épouse la perception de son personnage. »
Nils C.Ahl, « Stefan Brijs ou l’art de la lenteur », Le Monde, 16 avril 2010.
«
Le ton volontairement froid et quasi clinique du romancier, sied à merveille à
cette histoire glaçante et brillante. »
Nathalie
Six, « Les enfants vieux », Le Figaro littéraire, 11 mars 2010.
«
On est soufflé par la fibre romanesque et la puissance d‘évocation de cet écrivain
flamand qui dissèque l’humain (trop humain) avec une truculence digne des
tableaux de Bosch ou Bruegel. Phénoménal ! »
A.T.,
Elle , avril 2010.
«
A la fois dérangeant et poétique, ce très beau roman de Stefan Brijs, un des géants
de la littérature flamande, traite de façon magnifique des limites des
manipulations génétiques. (…) Le Faiseur d’Anges nous captive et nous
bouleverse du début à la fin. »
Dominique
Dyens, « Le Brijs et la fureur », Service littéraire, juin 2010.
"Un
roman époustouflant qui, nonobstant sa truculence bien flamande, pose de graves
questions sur la passion de la recherche scientifique et la responsabilité du
chercheur."
Alexis
Liebart, Marianne, 13-19 février 2010
"Qui
est vraiment le "faiseur d'anges"? au fil des 450 pages haletantes,
le lecteur va nourrir pour le personnage principal toutes sortes de sentiments
: fascination, dégoût, admiration pour ce savant fou, ce criminel qui devient
pourtant le "bon docteur" du village. (...) Victor Hoppe n'aura qu'une obsession : devenir le
nouveau Jésus. Rien que ca. Pour incarner le fils de Dieu il va utiliser le
clonage, au début des années 80. Fascinants essais, débats sous-jacents
entre la foi et la science.
La
Voix du Nord, 11 mars 2011
"Culpabilité,
effroi, doutes et perversion alternent dans ce vertigineux et inexorable
engrenage, dominé par la folie d'un homme. Un récit dense, qui tient en haleine
dans son inquiétant déroulement et juxtapose habilement la triste enfance, la
fulgurante ascension universitaire et l'obsession jusqu'à la dérive d'un homme
hanté par ses démons."
Maje
et A.Be, Notes bibliographiques, Février 2010
Pour consulter l'article publié en ligne dans La Vie Littéraire cliquez ici .
L'auteur :
Portrait de Stefan Brijs © D.R.
www.stefanbrijs.br
Le traducteur du Faiseur d'anges : Daniel Cunin
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