Gérald Tenenbaum a reçu Le Prix Erckmann-Chatrian
Bravo à lui et à sa magnifique éditrice, Héloïse!
Gilles
Quelques extraits (des critiques) dans la suite de la note.
Les Éditions Héloïse d’Ormesson sont fières et heureuses de vous annoncer que le quatrième roman du nancéien Gérald Tenenbaum, L’Ordre des jours, s'est vu décerner le Prix Erckmann-Chatrian lundi 10 novembre à 12h à l’Hôtel de Ville de Metz. Qualifiée de « Goncourt
lorrain », cette distinction confirme le talent de ce romancier trop discret et souligne la curiosité du jury pour des textes exigeants, littéraires et sans concession.
Le jury du Prix Erckmann-Chatrian est présidé de Gaston-Paul Effa. et composé de Pierre-Marie Beaude, Roger Bichelberger, Muriel Carminati, Francis Kochert, Gilles Laporte, André Markiewicz, Philippe Martin, Michèle Maubeuge, Robert Scheuer, Bernard Visse.
Parmi les heureux lauréats de ce prix prestigieux, on compte Philippe Claudel (Meuse l'oubli, 1999), Joël Egloff (Les Ensoleillés, 2000) ou Pierre Pelot (C'est ainsi que les hommes vivent, 2003).
Revue de presse :
"Cette histoire qui pourrait être insupportable est ecrite d'une plume légère, qui saupoudre l'horreur d'humour et nous rend attachants ces personnages de drame qui ne se posent jamais en victimes et assument leur destin avec le courage des humbles" Gérard Charut, L'Est Républicain
« Une composition admirable, un univers proche de Quoi de neuf sur la guerre, servie par une magnifique écriture, à la fois surprenante et simple » Un livre dans la poche, France Inter
« L’Ordre des Jours est un roman sur la possibilité ou non de vivre après la tragédie, une interrogation sur le temps qui passe, le passé qui ne passe pas et les vies à remettre en ordre pour des jours meilleurs » Page
« Le livre de Gérald Tenenbaum est ma découverte de la rentrée littéraire » L’ivresse littéraire
« C’est le plus littéraire de nos trois romans de la rentrée, très exigeant » Héloïse d’Ormesson pour La Voix du Nord
« Gérald Tenenbaum dresse un superbe portrait de femme, qui s’obstine dans son refus de la fatalité et sa recherche de la vérité » Le Télégramme
« Une plaie, longue, sourde et vive à la fois ; profonde. (…) Des histoires, des impressions, des ambiances, comme si c’était les nôtres » La Voix du Nord
« Il faut prendre en compte l’habileté de la composition, qui entretient le mystère jusqu’au bout, et l’intérêt que présente cette plongée dans la grisaille des années 50. Et enfin, l’écriture très
personnelle, vive et sensible de Gérald Tenenbaum » Le Républicain Lorrain
Il a reçu également le prix 2008 de boblioblog.
Cette phrase. " L'attente, c'est du silence, juste du silence, l'attente, c'est une page blanche qu'on n'aurait pas le droit de remplir " parmi tant d'autres.
Rédigé par : martingrall | 12 novembre 2008 à 16:04