Une critique du Degré suprême de la tendresse Ceci est bien un pipe sur Libé blog depuis vendredi.
Tiens, l'éditeur de Michel Houellebecq et Vincent Ravalec (soit Rapahaël Sorin) ne goûte guère les pastiches d'Héléna Marienské. Étonnant ?
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Bonjour Gilles,
Tiens, j'attends toujours que tu sois mon éditeur et en attendant je t'aiguille vers mon blog.
À bientôt, prends soin de toi, Gilles et reviens plus souvent nous écrire des billets de rédacteur en chef ou détracteur en flèche.
Rédigé par : Max | 22 février 2008 à 16:30
Donc Héléna est contre la crise pour un livre de 453 grammes on peut lire huit livres. Ca c'est bien. Sorin c'est bien surin en argot:-)))
Rédigé par : martingrall | 20 février 2008 à 11:13