Les traditionnels 700 romans sont au
rendez-vous. Les frères d’Arvor, Amélie Nothomb, Olivier Adam et
quelques autres en seront les têtes de gondole. Les plans promotionnels
et les publi-rédactionnels sont déjà prêts. «Chef-d’œuvre», «Son
meilleur livre depuis…», «Bouleversant» : partout ou presque, on lira
et entendra les mêmes enthousiasmes programmés. Sauf ici, avec une
rentrée 2007 imaginaire… vue par le journaliste de L'Opinion indépendante Christian Authier
What’s up Doc ? de Christine Angot
Flammarion, 200 p, 15 €.
L’histoire : la narratrice, une romancière à succès, relate la passion tumultueuse vécue avec un chanteur de rap démodé.
La première phrase : «Elle l’avait vu, tout de suite, senti, reniflé, désamorcé.»
La presse : «L’écrivaine Angot au sommet de son art.», Josyane Savigneau, Le Monde.
L’histoire : la narratrice, une romancière à succès, relate la passion tumultueuse vécue avec un chanteur de rap démodé.
La première phrase : «Elle l’avait vu, tout de suite, senti, reniflé, désamorcé.»
La presse : «L’écrivaine Angot au sommet de son art.», Josyane Savigneau, Le Monde.
Écran plasma de Frédéric Beigbeder
Grasset, 270 p, 18 €.
L’histoire : après la publicité et la mode, Octave se lance dans la télévision, mais son talk show sur la chaîne Canal 4 vire à la catastrophe…
La première phrase : «Longtemps, j’ai regardé la télé puis j’en ai fait.»
La presse : «Une satire au vitriol des fausses idoles du petit écran par l’un de nos meilleurs écrivains.» Jérôme Béglé, Paris Match.
L’histoire : après la publicité et la mode, Octave se lance dans la télévision, mais son talk show sur la chaîne Canal 4 vire à la catastrophe…
La première phrase : «Longtemps, j’ai regardé la télé puis j’en ai fait.»
La presse : «Une satire au vitriol des fausses idoles du petit écran par l’un de nos meilleurs écrivains.» Jérôme Béglé, Paris Match.
Come-back d’Arnaud Cathrine
Verticales, 205 p, 16 €.
L’histoire : Steve, adolescent perturbé, fait une fugue pour retrouver son père qu’il n’a pas connu. Sur une route, il est pris en stop par Bruce, un bûcheron taciturne. Les deux hommes vont apprendre à se découvrir…
La première phrase : «C’était une journée propice aux décisions irréversibles.»
La presse : «Épuré, juste, émouvant.» Claire Devarrieux, Libération.
L’histoire : Steve, adolescent perturbé, fait une fugue pour retrouver son père qu’il n’a pas connu. Sur une route, il est pris en stop par Bruce, un bûcheron taciturne. Les deux hommes vont apprendre à se découvrir…
La première phrase : «C’était une journée propice aux décisions irréversibles.»
La presse : «Épuré, juste, émouvant.» Claire Devarrieux, Libération.
Kiffer grave de Virginie Despentes
Grasset, 180 p, 16,50 €.
L’histoire : entre le manifeste et le roman d’apprentissage, une réflexion sur la condition féminine.
La première phrase : «Les mecs, c’est clair que je peux plus les blairer.»
La presse : «Comment dirais-je ? C’est un bouquin… Euh… Comment dirais-je… Qui décoiffe…», Guillaume Durand, Esprits libres.
L’histoire : entre le manifeste et le roman d’apprentissage, une réflexion sur la condition féminine.
La première phrase : «Les mecs, c’est clair que je peux plus les blairer.»
La presse : «Comment dirais-je ? C’est un bouquin… Euh… Comment dirais-je… Qui décoiffe…», Guillaume Durand, Esprits libres.
Le Treizième régiment de Marc Dugain
© J. Sassier |
Gallimard, 350 p, 20,50 €.
L’histoire : sur les pas du capitaine Grant, le destin de soldats appartenant au Treizième régiment de Marines qui entre dans Bagdad lors de l’attaque américaine de 2003.
La première phrase : «La mort rôdait, sournoise et implacable, sur le sable comme dans les airs.»
La presse : «Une nouvelle fois, Marc Dugain place le lecteur au cœur de l’Histoire avec un vrai souffle romanesque.», Sébastien Le Fol, Le Figaro Magazine.
L’histoire : sur les pas du capitaine Grant, le destin de soldats appartenant au Treizième régiment de Marines qui entre dans Bagdad lors de l’attaque américaine de 2003.
La première phrase : «La mort rôdait, sournoise et implacable, sur le sable comme dans les airs.»
La presse : «Une nouvelle fois, Marc Dugain place le lecteur au cœur de l’Histoire avec un vrai souffle romanesque.», Sébastien Le Fol, Le Figaro Magazine.
Twins de Bret Easton Ellis
Robert Laffont, 650 p, 23 €.
L’histoire : Peter, journaliste-vedette au Times, est un survivant des attentats contre les Twins Towers. Depuis, le soir venu, il devient Pete, un redoutable tueur en série…
La première phrase : «De la cervelle avait giclé sur la veste de son costume Armani et menaçait de souiller ses mocassins Prada qui piétinaient le visage réduit en bouillie de la prostituée.»
La presse : «Vertigineux, impressionnant, intelligent : le meilleur roman que l’on ait lu depuis dix ans !», François Busnel, Lire.
L’histoire : Peter, journaliste-vedette au Times, est un survivant des attentats contre les Twins Towers. Depuis, le soir venu, il devient Pete, un redoutable tueur en série…
La première phrase : «De la cervelle avait giclé sur la veste de son costume Armani et menaçait de souiller ses mocassins Prada qui piétinaient le visage réduit en bouillie de la prostituée.»
La presse : «Vertigineux, impressionnant, intelligent : le meilleur roman que l’on ait lu depuis dix ans !», François Busnel, Lire.
Des lumières dans le ciel de Jonathan Safran Foer
Éditions de l’Olivier, 978 p, 30 €.
L’histoire : le 11 septembre 2001, au petit matin, un homme se rend à son travail non loin du World Trade Center…
La première phrase : «Sa femme lui avait dit d’arrêter de fumer, au moins le matin.»
La presse : «Magnifique, éblouissant, virtuose : le meilleur roman que l’on ait lu depuis vingt ans !», François Busnel, Lire.
L’histoire : le 11 septembre 2001, au petit matin, un homme se rend à son travail non loin du World Trade Center…
La première phrase : «Sa femme lui avait dit d’arrêter de fumer, au moins le matin.»
La presse : «Magnifique, éblouissant, virtuose : le meilleur roman que l’on ait lu depuis vingt ans !», François Busnel, Lire.
Le soleil brillera de Laurent Gaudé
Actes Sud, 320 p, 17,80 €.
L’histoire : un jeune immigré clandestin kosovar rencontre à Marseille une femme de quarante ans qui vient de perdre son père. Ensemble, ils partiront en Italie à la recherche d’un bonheur possible…
La première phrase : «Les rayons brûlants du soleil frappaient le Vieux Port écrasé par une chaleur suffocante qui semblait transformer les êtres en statues immobiles aux mouvements imperceptibles.»
La presse : «Avec son style solaire, Laurent Gaudé nous raconte une histoire bouleversante et pleine d’humanité.», Michèle Gazier, Télérama.
L’histoire : un jeune immigré clandestin kosovar rencontre à Marseille une femme de quarante ans qui vient de perdre son père. Ensemble, ils partiront en Italie à la recherche d’un bonheur possible…
La première phrase : «Les rayons brûlants du soleil frappaient le Vieux Port écrasé par une chaleur suffocante qui semblait transformer les êtres en statues immobiles aux mouvements imperceptibles.»
La presse : «Avec son style solaire, Laurent Gaudé nous raconte une histoire bouleversante et pleine d’humanité.», Michèle Gazier, Télérama.
Simple comme un coup de fil d’Anna Gavalda
Le Dilettante, 555 p, 22,99 €.
L’histoire : Clémence, paraplégique et opératrice téléphonique pour une émission de télé-achat, reçoit chaque vendredi matin l’appel d’un homme qui commande des boissons amincissantes. Une amitié à distance naît entre les inconnus. Peut-être même que l’amour rattrapera la jeune handicapée et le vieil obèse…
La première phrase : «Elle était jolie, Clémence.»
La presse : «On dévore Simple comme un coup de fil sans jamais décrocher !», Olivia de Lamberterie, Elle.
L’histoire : Clémence, paraplégique et opératrice téléphonique pour une émission de télé-achat, reçoit chaque vendredi matin l’appel d’un homme qui commande des boissons amincissantes. Une amitié à distance naît entre les inconnus. Peut-être même que l’amour rattrapera la jeune handicapée et le vieil obèse…
La première phrase : «Elle était jolie, Clémence.»
La presse : «On dévore Simple comme un coup de fil sans jamais décrocher !», Olivia de Lamberterie, Elle.
Tout est possible de Marc Levy
Robert Laffont, 350 p, 18,50 €.
L’histoire : dix ans après l’avoir croisée dans le métro parisien, David retrouve la belle inconnue à la terrasse d’un restaurant de Londres…
La première phrase : «Et si c’était elle ?»
La presse : «Tout est possible donc, selon Levy. Qu’il le prouve en écrivant enfin un bon livre.», Patrick Besson, Marianne.
L’histoire : dix ans après l’avoir croisée dans le métro parisien, David retrouve la belle inconnue à la terrasse d’un restaurant de Londres…
La première phrase : «Et si c’était elle ?»
La presse : «Tout est possible donc, selon Levy. Qu’il le prouve en écrivant enfin un bon livre.», Patrick Besson, Marianne.
Credo de Yann Moix
Grasset, 420 p, 21 €.
L’histoire : selon l’auteur, le XXIème siècle sera religieux ou ne sera pas.
La première phrase : «Croire ou ne pas croire, ce n’est plus la question.»
La presse : «Moix est un visionnaire !» Jean-Paul Enthoven, Le Point.
L’histoire : selon l’auteur, le XXIème siècle sera religieux ou ne sera pas.
La première phrase : «Croire ou ne pas croire, ce n’est plus la question.»
La presse : «Moix est un visionnaire !» Jean-Paul Enthoven, Le Point.
Arrêt des hostilités de Michel Houellebecq
Fayard, 390 p, 22 €.
L’histoire : à l’approche de la cinquantaine, Pierre, un réalisateur culte de films érotiques exilé au Liban redécouvre la foi au contact de Madeleine, une adolescente de treize ans. Entre le sexe et l’ascèse, Pierre recherche l’harmonie…
La première phrase : «C’était le temps de tout avènement et de toute destruction possibles.»
La presse : «Derrière une apparente redécouverte du catholicisme qui pourrait paraître traditionaliste voire réactionnaire, Houellebecq signe cependant un roman aussi dérangeant que subversif.», Sylvain Bourmeau, Les Inrockuptibles.
L’histoire : à l’approche de la cinquantaine, Pierre, un réalisateur culte de films érotiques exilé au Liban redécouvre la foi au contact de Madeleine, une adolescente de treize ans. Entre le sexe et l’ascèse, Pierre recherche l’harmonie…
La première phrase : «C’était le temps de tout avènement et de toute destruction possibles.»
La presse : «Derrière une apparente redécouverte du catholicisme qui pourrait paraître traditionaliste voire réactionnaire, Houellebecq signe cependant un roman aussi dérangeant que subversif.», Sylvain Bourmeau, Les Inrockuptibles.
Dans les jardins des Jardin d’Alexandre Jardin
Grasset, 205 p, 17 €.
L’histoire : l’auteur revisite l’histoire mouvementée et les secrets de sa famille.
La première phrase : «On choisit toujours ses parents.»
La presse : «Un Jardin pas extraordinaire…», Aude Lancelin, Le Nouvel Observateur.
L’histoire : l’auteur revisite l’histoire mouvementée et les secrets de sa famille.
La première phrase : «On choisit toujours ses parents.»
La presse : «Un Jardin pas extraordinaire…», Aude Lancelin, Le Nouvel Observateur.
Seul au milieu des ruines de Richard Millet
Gallimard, 720 p, 25 €.
L’histoire : Gilles Bugeaud, professeur de Grec ancien à la Sorbonne, vient enterrer sa mère dans le village natal en Corrèze.
La première phrase : «C’était fini maintenant, et il savait qu’en revenant au bercail, sur cette terre de France qui l’avait vu naître et qui disparaissait, lentement, longuement, tel un géant pris dans des sables mouvants, seules des ruines subsisteraient en un dérisoire ballet de survivances à l’image de ces monuments aux morts que personne ne fleurissait plus -qui, d’ailleurs, les remarquait encore ou même s’arrêtait au cœur de ces hameaux désertés par la vie ? -et qui deviendraient des mausolées inutiles pour une époque sans âme ; à cette certitude s’agrégeait l’intuition que son tour viendrait, qu’il serait appelé à rejoindre ces ombres… (la première phrase s’achevant page 12, nous ne sommes pas en mesure de la reproduire entièrement, NDLR).
La presse : «Un roman magnifique que j’ai lu d’une traite et que je vous conseille.», PPDA, Vol de nuit.
L’histoire : Gilles Bugeaud, professeur de Grec ancien à la Sorbonne, vient enterrer sa mère dans le village natal en Corrèze.
La première phrase : «C’était fini maintenant, et il savait qu’en revenant au bercail, sur cette terre de France qui l’avait vu naître et qui disparaissait, lentement, longuement, tel un géant pris dans des sables mouvants, seules des ruines subsisteraient en un dérisoire ballet de survivances à l’image de ces monuments aux morts que personne ne fleurissait plus -qui, d’ailleurs, les remarquait encore ou même s’arrêtait au cœur de ces hameaux désertés par la vie ? -et qui deviendraient des mausolées inutiles pour une époque sans âme ; à cette certitude s’agrégeait l’intuition que son tour viendrait, qu’il serait appelé à rejoindre ces ombres… (la première phrase s’achevant page 12, nous ne sommes pas en mesure de la reproduire entièrement, NDLR).
La presse : «Un roman magnifique que j’ai lu d’une traite et que je vous conseille.», PPDA, Vol de nuit.
Guerre ouverte (Journal Intime V) de Marc-Edouard Nabe
L’Âge d’Homme, 1054 p, 35 €.
L’histoire : le cinquième volume (juin 1989-sept 1989) du journal intime de l’écrivain.
La première phrase : «Je vous vomis !»
La presse : «Certes, il s’est égaré le petit Marc-Edouard depuis qu’il a quitté L’Infini où je l’éditais, mais diantre ! la musique est encore là !», Philippe Sollers, Le Journal du Dimanche.
L’histoire : le cinquième volume (juin 1989-sept 1989) du journal intime de l’écrivain.
La première phrase : «Je vous vomis !»
La presse : «Certes, il s’est égaré le petit Marc-Edouard depuis qu’il a quitté L’Infini où je l’éditais, mais diantre ! la musique est encore là !», Philippe Sollers, Le Journal du Dimanche.
Mon plus grand bonheur c’est vous… de Jean d’Ormesson
Éditions Héloïse d’Ormesson, 280 p, 19,90 €.
L’histoire : Jean d’Ormesson raconte sa vie faite de rencontres, de voyages et d’admirations.
La première phrase : «Moi et Chateaubriand avons toujours partagé le goût des voyages et de la littérature.»
La presse : «Jean d’O au meilleur de sa forme !», Bernard Pivot, Le Journal du Dimanche.
L’histoire : Jean d’Ormesson raconte sa vie faite de rencontres, de voyages et d’admirations.
La première phrase : «Moi et Chateaubriand avons toujours partagé le goût des voyages et de la littérature.»
La presse : «Jean d’O au meilleur de sa forme !», Bernard Pivot, Le Journal du Dimanche.
Au milieu d’Aristide Peluchot
P.O.L., 82 p, 12 €.
L’histoire : dans une pièce close (une cellule ? une chambre d’hôpital ? un bureau ?), un homme médite en feuilletant un catalogue de vente par correspondance.
La première phrase : «Il était là.»
La presse : «Pour son premier roman sec comme un scalpel, Peluchot impose sa voix à travers une peinture vertigineuse, fine et sans concessions des sociétés spectaculaires post-modernes.» Jacques Braunstein, Technikart.
L’histoire : dans une pièce close (une cellule ? une chambre d’hôpital ? un bureau ?), un homme médite en feuilletant un catalogue de vente par correspondance.
La première phrase : «Il était là.»
La presse : «Pour son premier roman sec comme un scalpel, Peluchot impose sa voix à travers une peinture vertigineuse, fine et sans concessions des sociétés spectaculaires post-modernes.» Jacques Braunstein, Technikart.
Article paru dans l'édition du Vendredi 31 Août 2007
PORTEZ CE QUE VOUS LISEZ
Après le café littéraire, voici un nouveau concept que je m’apprête à lancer et qui ne manquera pas de m’assurer fortune et gloire. Le prêt à porter littéraire. Si comme moi, vous ne sortez jamais dans la rue sans un bon bouquin sous les bras, soit pour éviter dans le métropolitain le regard inamical de votre voisin de strapontin ou bien histoire de vous donner une contenance, « The Reliure Shop » est fait pour vous.
« The Reluire Shop » vous propose des livres où tous les thèmes obsessionnels, pour avoir toujours échappé au contrôle de la culture bourgeoise, y figurent. Depuis l’égotisme dont l’inflation est devenue galopante, au deuil qui ne se commande jamais, en passant par cet Amour obsédant, ce rare objet non marchand, où pour l’avoir, il faut donner.
Des livres aussi dont le format et la couleur se marieront au mieux avec votre garde-robe. Faites un essai. Rendez-vous y avec votre costume ou votre veste favorite. L’essai est gratuit. Le stock est infini. Avec 727 articles rien que pour cette rentrée littéraire, toutes les fantaisies sont possibles.
Aussi nous pourrons vous proposer comme accessoire parfaisant le style d’une veste en laine ou bien en velours noir, le sublime ouvrage d’Eric Reinhardt « Cendrillon », dont le format 20x15 cm ainsi que la couleur brune seront du plus bel effet.
Vous êtes rouquine. C’est parfait. Ce vert qui sied si bien aux rousses est à la mode. « Le cimetière des poupées » de la Mazarine, « c’est fou une fille » de Marie Billet Doux, « ni d’Eve, ni d’Adam » d’Amélie Nothomb, autant de choix possibles.
Oui, tout est possible au « Reliure Shop ». J’ai même un petit stock de couvertures oranges pour mes amis centristes. Un choix aux attentions toutes délicates. « La force qui nous manque » d’Eva Joly. Un titre qui leur va à la perfection. Ou encore « Cahier de gribouillages pour adultes qui s'ennuient au bureau ». tout aussi valable pour les quatre députés MoDem présents à l’Assemblée…
« The Reliure Shop » vous accueille rue du Republicoin, en plein quartier Blogspot. Un magasin pour gens de qualité et de goût. Cuistres, rappeurs et autres analphabètes s’abstenir.
My SIL is rich sur
http://republicoin.blogspot.com
Rédigé par : sil | 12 septembre 2007 à 22:31
je suis assez tentée par Frédéric Beigbeder et Marc Levy mais je t'avouerai que c'est pas objectif du tout ! c'est parce qu'on en parle dans la presse ... oui je sais, mais en même temps, c'est un effort. :(
Rédigé par : lOlA2luxe | 06 septembre 2007 à 11:00
Ha oui j'ai raté imaginaire.
je vais me recoucher.
Rédigé par : martingrall | 05 septembre 2007 à 11:22
La presse : «L’écrivaine Angot au sommet de son art.», Josyane Savigneau, Le Monde.
Ha là c'est stubborn qui va être très contente. Heureusement qu'il y a la date 31 août 2007. J'ai lu le billet en 2006.
Rédigé par : martingrall | 05 septembre 2007 à 11:05