Abha Dawesar, auteur de Babyji aux Éditions Héloïse d'Ormesson était présente lors de la remise du prix Lilas mercredi soir.
Sur son blog français - ouvert tout spécialement à l'occasion de la sortie de son livre en France le 15 mars (courageux!) - Abha s'est amusée à écrire un petit compte-rendu mondain de cette épisode germanopratin. Cinq femmes y sont à l'honneur : Eliette Abécassis, Tatiana de Rosnay, Héloïse d'Ormesson, Randa Haines et Ornela Vorpsi.
Abha Dawesar est invitée au Salon du Livre de Paris 2007 pour son roman Babyji,
à paraître le 15 mars.
Nouvelle égérie de la scène littéraire internationale, Abha Dawesar dresse le portrait d’une jeunesse indienne loin de tout cliché. Parlant couramment le français et diplômée de Harvard, elle a travaillé à New York dans la finance (chez Morgan Stanley) avant de se consacrer à l’écriture. Elle vit aujourd'hui entre Dehli et Paris, une ville à laquelle elle a dédié un livre, That summer in Paris, à paraître chez Eho en 2008.
En 2005, India’s Femina – premier magazine féminin indien – et Time Out l’ont élue
« personnalité de l’année ».
Venez à sa rencontre...
La librairie Privat-Julliard et les Éditions Héloïse d'Ormesson vous invitent à rencontrer Abha Dawesar lors de la signature de son livre le jeudi 15 mars à 18h30, au 229 boulevard saint-germain, Paris 7ème.
Babyji est un roman traduit de l’anglais (Inde) par Isabelle Reinharez.
À PROPOS DE BABYJI
Newton comprit les lois de l’attraction universelle lorsqu’une pomme lui tomba sur la tête. Babyji, elle, en saisit les voluptés après la lecture du Kamasutra.
Dans la chaleur suffocante de Dehli, Babyji passe des bras de Linde, une femme divorcée, à ceux de la bonne de la maison pour mieux conquérir le cœur d’une camarade de classe. Cette lycéenne, aussi intelligente que passionnée découvre que le cerveau peut aussi être une zone érogène.
Roman d’apprentissage et témoignage social, Babyji dévoile une Inde inconnue, tiraillée entre passé et modernité.
Couronné par deux prix littéraires - l’American Library Associa-tion's Stonewall Award en 2006 ainsi que le Lambda Literary Award en 2005 -, le livre a connu un succès énorme en Inde et aux Etats-Unis. À ce jour, Babyji est traduit en 5 langues.
ouh là là, j'ai pris du retard dans la lecture des blogs... mais j'ai la chance que finalement tu écrives peu (peu mais bien, le bonheur!), je peux suivre.
Sauf que là je ne suis pas.
Tu promets de raconter, le lendemain de cette fameuse sauterie à la Closerie, la soirée délirante que tu comptais bien passer... et (mais j'ai peut-être de mauvais yeux!) je n'en vois pas trace.
Et qui a gagné??
En tout cas, encore un livre que je vais acheter!
Rédigé par : Berthet Catherine | 14 mars 2007 à 18:09
Rien à voir avec cet article, mais ça n'est quand même pas très gentil de ne pas m'avoir envoyé un petit mail de commentaire suite à mon envoi tapuscrit d'avant 2007.
M'enfin, ça fait rien.
C'est la littérature générale qui veut ça. On est trop nombreux à scribouiller.
De toute façon, c'est sans rancune, je me suis définitivement orientée fantastique.
J'avais juste envie de le dire.
Bonne route. ;-)
Rédigé par : une lectrice scribouillarde | 11 mars 2007 à 14:15
Gillou, tes auteurs masculins sont-ils aussi beaux que tes auteurs féminins?
Physiquement, j'entends.
Parce que là, c'est à couper le souffle...
(je ne poste pas pour le Kdo, j'ai pas encore terminé mon livre de l'année dernière ;-)
Rédigé par : Sacha | 09 mars 2007 à 17:13
ah ok ! C'était un piège à radin ! j'essaierai d'acheter le livre si je tombe sur lui..
Rédigé par : trompe la mort | 09 mars 2007 à 15:21
Tiens, je viens, aussi. Mais j'acheterais le livre.
Rédigé par : martingrall | 09 mars 2007 à 15:05
Premsss j'ai droit au livre gratuit !
Rédigé par : trompe la mort | 09 mars 2007 à 15:00