Découverte avec Babyji qui racontait les émois homosexuels d'une adolescente, Abha Dawesar, 35 ans, est devenue l'égérie d'une nouvelle littérature indienne impitoyable pour les tares du pays. Ici, un enfant observe, ausculte la société. Ce qu'il découvre ? Un univers gangrené par la misère et la cupidité : les valeurs familiales ne sont plus que matérielles. Un livre lucide, saisissant.
Sorti en Inde cet hiver, L’Inde en héritage a immédiatement
été encensé par la critique et est rapidement entré sur la liste des best-sellers,
avant de se voir nominé pour les prestigieux prix Femina et Medicis cet
automne. Ce roman figure désormais également dans l'exigeante sélection du POINT des meilleurs livres de l'année.
- Dawesar manie l’humour pour mieux
souligner le caractère tragicomique de ce roman éminemment politique. Le Magazine littéraire
‐
C'est inoubliable ! Cosmopolitan
- Le récit
parfait et effrayant des avanies subies par un jeune garçon. Le Monde
- un livre corsé, riche en épices, qui mérite d'être goûté.
Version Femina.
Abha Dawesar, la révélation
indienne
Nouvelle égérie de la
scène littéraire internationale, elle dresse le portrait de son pays loin de
tout cliché. Parlant couramment le français, cette diplômée de Harvard a
travaillé à New York dans la finance avant de se consacrer à l’écriture. Née en 1974 à Delhi, Abha a été élue
« personnalité de l’année » par India Today, Femina et Time Out NY.
Elle vit aujourd'hui entre Dehli, New York et
Paris
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