mai 2013

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Commentaires

martingrall

Je ne me souvenais que de la fin. Mon père me le récitait quelquefois. Il me fallait comprendre le but dans la certitude d’une idée. Je ne l’ai jamais accepté.
Sa disparition me faisant passer de l’enfance à l’adolescence, je n’entretenais que le doute et l’interrogation, pourquoi être un homme ? Il faut dire qu’il me lisait ce premier texte alternativement avec, Son second, le fardeau de l’homme blanc. Après avoir compris la pourriture des hommes par leurs faits et gestes, j’ appréhendais la pourriture de l’Homme par son écriture.

E

Pas facile d'être un homme.
Très joli poéme...

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